Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 4 ans
J’étais invité au mariage d’un ami et après la mairie, le vin d’honneur et le repas, je commençais à m’ennuyer maintenant que le bal avait débuté dans la salle de l’hôtel qui accueillait la cérémonie. Le barman était mignon, je m’apprêtais à aller lui faire du gringue quand je me suis retrouvé nez à nez avec mon cousin. Nous avions presque 30 ans tous les deux et nous nous étions perdus de vue depuis l’été de nos 16 ans, où très proches l’un de l’autre, un soir, nous nous étions embrassés. Nous n’avions jamais voulu nous revoir depuis, sauf stricte obligation où l’on se contentait de se saluer, toujours un peu gênés, et je l’avais même perdu de vue depuis que nos routes avaient vraiment divergé, lui s’étant marié et moi ayant eu plusieurs mecs successifs.
Bref, ce soir-là, nous nous étions retrouvés ensemble dans les toilettes et j’allais sortir quand il me parla.
— Tu sais Jérémie, je n’ai pas oublié et je ne t’en veux pas.
— M’en vouloir de quoi Pierre? lui ai-je rétorqué.
— De ce que tu m’as fait, a-t-il ajouté.
Alors comme ça il m’accusait! Je n’eus pas le temps de réfléchir que je le pris par la nuque et essayai de l’embrasser. Au début, il garda les lèvres fermées puis il céda à ma pression. Je le relâchai alors et nous reprîmes notre souffle, muets tous les deux en train de se regarder.
Quelqu’un arrivait, il me poussa vers une cabine vide. Ce qui suivit se passa très vite, il se serra contre moi, m’embrassa, je sentais la bosse dans son pantalon. Il défit ma ceinture, baissa le mien puis le sien ainsi que son slip, dévoilant une belle queue bien raide. Pendant ce temps, on entendait le mec qui était entré chanter en pissant, il devait être bourré. Pierre glissa sa bite entre mes jambes et entreprit un très rapide va-et-vient, il haletait et m’embrassait fougueusement et mal, je le laissais faire. Tout à coup, je sentis qu’il s’était lâché, j’avais son sperme poisseux qui me coulait entre les jambes. Je lâchai un bref: "m e r d e t’es con!" Il eut l’air penaud et sortit précipitamment de la cabine en remontant son pantalon. Pendant ce temps, je me retrouvai à éponger sa jute avec le papier toilette.
Quand je sortis à mon tour, je remarquai que le mec arrivé entre temps était toujours là, lui aussi s’essuyait le pantalon avec des gestes pas trop coordonnés, il avait réellement trop bu. C’était le marié. Il n’avait quand même pas perdu tous ses esprits car il me dit:
— Jérémie, je rêve où tu étais avec Pierre dans la même cabine? Je l’ai vu sortir et toutes autres portes étaient grandes ouvertes.
Je changeai la conversation en me moquant de lui:
— Tu ne t’es pas loupé Arnaud, tu t’es pissé dessus! Sophie ne va pas être contente.
— C’est de sa faute à celle-là, a-t-il ajouté, elle était partie pendant 10 jours avant le mariage pour son boulot, après elle n’a pas voulu qu’on baise jusqu’à ce soir pour la nuit de noces. Résultat: le fait de danser contre elle m’a donné la trique et j’arrive pas à débander.
Je me suis moqué de lui en lui disant que ça ne se voyait pas. Il m’a pris la main et me l’a collé sur son paquet qui était un peu mouillé. Je sentais sa barre. Il avait envie de jouer? J’allais entrer dans son jeu.
— Je ne sens rien à part que t’es trempé, ou alors c’est que tu en as une toute petite! lui dis-je.
Il s’est déplacé alors vers une cabine et a défait sa ceinture et baissé son pantalon, son boxer blanc trempé ne cachait rien, on voyait sa tige et ses poils et après l’épisode Pierre, ça me donnait la trique. J’entrai alors moi aussi dans la cabine et je fermai la porte. Pris par une inspiration, je portai mon visage sur son sous-vêtement et commençai à le lécher. J’adorai le goût salé de sa pisse et la sensation de sa queue étranglée dans le tissu mouillé.
— Mais qu’est-ce que tu fais? me disait-il.
Et au lieu de me repousser, je sentais ses mains passer dans mes cheveux et me guider. Ne sentant pas plus de résistance, je sortis sa bite et l’engloutis, commençant à remonter et descendre sur sa hampe. Je pris garde au passage d’aller le plus loin possible et de bien lui enserrer le gland. Je le sentais devenir tout électrique avec des petits tremblottements dans les jambes. Il me largua une bonne dose de purée bien épaisse et je fis en sorte de jouer les garces en en faisant couler sur mon menton.
— Putain que ça fait du bien! me dit-il. Y'a pas à dire, tu sais faire. Merci, mais pas un mot.
Il semblait complètement dégrisé mais soulagé. Nous entendîmes alors une chasse d’eau à côté, nous espérions avoir été discrets et attendîmes quelques instants avant de sortir.
La soirée avançait et j’étais content de mon double coup quand Henri, le père du marié, vint me voir.
— Jérémie, il y a un problème, j’ai besoin de ton aide, accompagne-moi jusqu’à ma chambre, je vais t’expliquer pour qu’on trouve une solution.
Ne comprenant pas, je lui posai quelques questions auxquelles il ne voulut pas répondre. Arrivés à la chambre, il me balança une claque qui me fit reculer et tomber sur le lit. Henri avait été rugbyman. À 55 ans, c’était toujours une f o r c e de la nature, 1m90 environ et 100 kilos au moins.
— Espèce de salope, me dit-il, je sais ce que tu as fait à Arnaud, j’étais dans la cabine à côté et j’ai tout vu.
Il me prit par ma cravate et le col et par une torsion me f o r ç a à me mettre au niveau de sa braguette.
— Si tu aimes ça et tu ne peux pas t’empêcher, tu vas goûter à la mienne.
De sa main libre, il se désajusta, laissant apparaître une bite coiffée d’un gros gland et deux grosses couilles bien pendantes. J’avais le nez dessus et en plus, ça sentait fort; il ne devait pas être trop clean. Il me pinça une oreille, ce qui me fit ouvrir la bouche où il introduit son engin. M’emprisonnant la tête de ses deux mains, il me faisait faire le mouvement à l’allure qui lui convenait.
Son gland était un peu fromagé, je lui nettoyai le tout. J’attrapai de temps en temps une de ses grosses boules que je tétai avec application de peur de prendre un coup. Sa bite devenait de plus en plus dure et se collait à son ventre légèrement bedonnant et couvert de poils. Ce n’était pas le genre de mec qui m’attirait d’habitude mais il était bien doté.
Il me releva, me fit une clé et entreprit de me déshabiller. Je lui dis que je me laisserai faire. À peine nu, il me poussa sur le lit et se coucha sur moi, m’écrasant à moitié, il se cracha dans les mains et commença à me caresser l’anus puis à m’y introduire ses doigts baveux. J’allais passer à la casserole et vu la taille de l’engin, souffrir s’il n’y mettait pas un peu de tendresse. Il me tira par les jambes vers le bord du lit, j’étais sur le dos et écarta mes jambes en les soulevant. Il me mit son visage entre les fesses, je sentais sa langue gluante qui entrait.
Il se déshabilla alors complètement - j’étais impressionné par son corps - et présenta son gland. Il le fit buter plusieurs fois contre mon trou tout en me triturant les seins. Henri devait avoir quelques habitudes... Au bout d’un instant, je le sentis pousser et entrer en écartelant mes fesses. Il y allait progressivement, ça allait. Puis, quand il se coucha sur moi, je compris qu’il y était en entier. Il faisait des petits mouvements en me disant qu’il prenait possession de mon corps. À vrai dire, il savait y tâter, j’étais très excité.
Le pilonnage commença, il me fit changer plusieurs fois de position. Il semblait pouvoir maîtriser son éjaculation et la mienne. À un moment, il se trouva couché le dos sur le lit et moi couché le dos sur lui, sa bite ne bougeait plus. Il m’enserrait des bras musclés, j’étais comblé quand j’entendis une clé ouvrir la porte. Henri me maintint et je vis Arnaud approcher. Il n’avait pas l’air ivre, mais avait une main dans le pantalon et semblait se palucher. Il nous regarda quelques instants et son père lui dit:
— Ça y est fiston, je te l’ai préparé.
Arnaud se déshabilla alors et arriva avec une queue bien considérable, comme lorsque je l’avais avalée précédemment. Son père lui dit de prendre un préservatif dans son pantalon. Une fois fait, il s’approcha de moi en se branlant doucement. Je crus qu’il voulait que je le suce, mais il approcha sa queue de celle de son père qui restait dure et immobile dans mon trou et se coucha sur moi, introduisant sa bite lui aussi. J’avais été bien travaillé mais il y eut quelques instants difficiles. Lors des première minutes, l’une des deux bites sortait souvent, faisant un petit splash à cause du caoutchouc puis ils trouvèrent leur rythme. Arnaud m’embrassait ou me suçait les seins pendant que son père, sous moi, me caressait. Au moment le plus chaud, Henri sortit sa bite et éjacula sur mon visage, pendant qu’Arnaud faisait la même chose sur mon cul et que de mon côté, sans même me toucher, j’éjaculai à gros jets sur mon ventre. Henri étala tout, j’étais couvert de sperme et commença à me lécher, plus particulièrement l’anus que j’avais béant.
Il me complimenta en me disant que j’étais vraiment bonne, meilleure encore que sa belle-fille qui épousait Arnaud ce soir-là.
Jill
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